Il y a eu beaucoup de changements à l’AAR en 2015-2016.
Depuis le retrait de l’AAR du RIIRS (Regroupement interprofessionnel des intervenants retraités des services de santé) en 2015-2016 ainsi que le retrait imprévisible de l’AREQ (Association des retraités de l’enseignement du Québec, fondateur de l’AAR), tout récemment, force est de constater que seules des petites associations, avec beaucoup moins de ressources humaines et financières, demeurent dans l’AAR. Ce groupe (l’AREQ) était très présent et actif à l’AAR, compte tenu de son grand nombre de membres et de leur présence active au Conseil d’administration.
Compte tenu de l’importance et de la grande crédibilité de l’AREQ auprès des instances gouvernementales, l’AAR est amputée d’une partie importante de son fonctionnement.
Pour toutes ces raisons, le C.A. de l’ARREP peut remettre en question la pertinence de maintenir sa position de solidarité toujours souhaitée avec les autres associations, dans la lutte pour le rétablissement de l’indexation des revenus de retraite. Est-il encore souhaitable de payer pour appartenir à une association qui s’effrite et qui a perdu sa raison d’être?
Enfin, la bataille de l’indexation des revenus de retraite semble perdue.
Compte tenu de tout ce qui est mentionné ci-haut et plus (voir le MISSIO de décembre 2017), notre représentant à l’AAR, monsieur Jean-Jacques Marchand, ne peut que recommander au C.A. de l’ARREP de remettre en question sérieusement son appartenance à l’AAR.